Les élèves répètent « Bo Yaro », le morceau de balafon joué pour soutenir le travail dans les champs, pendant la réunion de balafon. Les vitamines du travail tout en louant la force du jeune homme Bobo ! (vidéo réalisée par Albert Cornelissen)
Le groupe de cours Hoeksche Waard joue la pièce de balafon ‘Fantanmankene’ qui invite à soutenir la femme malade et à lui donner divers aliments. (Vidéo d’Albert Cornelissen).
Le groupe de cours De Bilt joue « Kanouzo », une chanson de balafon sur « la fille la plus douce du village ». (Vidéo de Karin van Leengoed).
Le groupe de cours De Bilt joue ‘Sinte Konofe’, un morceau de balafon du Burkina Faso qui dit que la nature / dieu a une solution pour tout. Balafonmeeting 2017, Tilburg, Pays-Bas. (Film de Hugo van Casteren).
Hanneke Duijkers joue « Wa Ere », une chanson qui invite à profiter de la vie. (film réalisé par Hugo van Casteren)
Hanneke Duijkers joue « Bazani », une ode à un combattant de la liberté au Mali au début du siècle dernier. Elle joue la première partie avec un looper-bastand avec lequel elle montre comment elle répète les morceaux de balafon à la maison. (film réalisé par Hugo van Casteren)
Le Balafongroupe ‘Hakiri’ (le groupe de cours Roermond avec des percussionnistes et des chanteurs supplémentaires) joue « Famaden Korobo », qui avertit de ne pas révéler les secrets que des personnes importantes vous ont confiés. (Matériel cinématographique d’Yvonne Smeelen et Albert Cornelissen)
Le Balafongroupe ‘Hakiri’ (le groupe de cours Roermond avec des percussionnistes et des chanteurs supplémentaires) joue « Ba Lo We A We Lo », une chanson qui dit qu’il faut d’abord travailler avant de pouvoir récolter. (matériel du film par Hugo van Casteren)
Le Balafongroupe ‘Hakiri’ (le groupe de cours Roermond avec des percussionnistes et des chanteurs supplémentaires) joue ‘Djeneba’, un morceau de balafon qui nous incite à utiliser notre esprit. (Vidéo d’Yvonne Smeelen)